traductrice Alexandra Cox Cologne Ben Vautier Tinguely Robert Delaunay City of Lights traducteur pour l’art et la culture art et culture traduteur
Veuillez cliquer sur Publications pour en savoir plus sur mon parcours en tant que traductrice dans le domaine de l’art et de l’histoire de l’art et découvrir mes travaux. Alexandra Cox
Qualifications universitaires
En 1996, je suis sortie de l’Université de Bath (sud de l’Angleterre) avec en poche un BA (Hons) (high 2:1) en français, allemand et études européennes, diplôme équivalant à une licence avec mention bien. Lorsque j’ai commencé à suivre des cours de traduction par correspondance en 1997, j’avais déjà un emploi à temps plein au Royaume-Uni, mon pays d’origine. En 2001, voulant devenir traductrice indépendante, j’ai démissionné pour me consacrer entièrement à un cursus d’études d’un an pour décrocher un Master of Sciences en traduction en français et allemand vers l’anglais à l’Université Heriot-Watt d’Edimbourg.
En pratique
À l’été 2002, une fois ma thèse achevée, je suis partie en France, à Lyon, pour un stage pratique de traductrice en interne chez Bayer CropScience. Un an plus tard s’offrit à moi l’option de rester travailler dans l’entreprise en France ou de partir à Francfort-sur-le-Main ; c’est ainsi que, fin septembre 2003, je suis arrivée en Allemagne. Je suis restée sous contrat chez Bayer pendant un an en tant que « consultante » ; ma mission consistait en fait à me rendre chaque jour au bureau pour trois heures, ce qui me laissait beaucoup de temps pour m’installer en tant qu’indépendante. Au printemps 2004, j’étais pleinement opérationnelle en tant que traductrice indépendante, et lorsque mon contrat d’un an avec Bayer se termina la même année, je m’étais déjà bien établie. traductrice Alexandra Cox Alexandra Cox traductrice
À l’été 2010, j’ai postulé auprès de l’Institute of Translation & Interpreting (l’équivalent anglais de la SFT) et passé l’examen d’admission – le texte étant un article universitaire extrait d’un journal d’études littéraires, à traduire en un week-end. Les conditions d’admission à l’ITI incluaient, en plus d’être titulaire d’un bachelor en langues étrangères (équivalent de la licence), une expérience d’au moins 3 ans en traduction et des références professionnelles. J’ai réussi l’examen et j’ai été admise comme membre qualifié. Je suis également membre de la Society of Authors (Société britannique des auteurs) où sont enregistrées les publications que j’ai traduites. traductrice Alexandra Cox Ben Vautier
Traductrice publiée dans le domaine de l’art et de la culture
En février 2011, on me confia pour mission la traduction en anglais de l’ouvrage « Fetisch Auto » ce qui me prit jusqu’au printemps; il y avait 8 essais, et ce fut jusqu’à cette date mon plus gros travail à être publié (supplanté depuis, en termes de volume, par l’édition anglaise du catalogue de collection du musée Tinguely qui fut publiée en janvier 2013). Pour ce même musée Tinguely j’ai traduit quelques passages du catalogue Ben Vautier. Is everything art? du français vers l’anglais en 2015. Pour le Kunsthaus Zürich est paru le catalogue sur Robert Delaunay and the City of Lights, également du français vers l’anglais, en 2018. Alexandra Cox traductrice Ben Vautier l’art et la culture traductrice Alexandra Cox
Eyes Wide Open ! A Hundred Years of Leica Photography est publié en 2015.
Dr. Paul Wolff & Tritschler. Light and Shadow – Photographs from 1920 to 1950 est paru en 2019.
En 2015, j’ai achevé avec succès un master en histoire de l’art.
Je suis très heureuse de pouvoir traduire des ouvrages sur l’art, la culture et la photographie et je me réjouis des nombreux projets à venir dans ce domaine. Robert Delaunay